Révélation choc : une nouvelle étude démonte le mythe des jeux vidéo et internet comme causes de maladie mentale

À l’Oxford Internet Institute, des chercheurs se sont attelés à sonder les habitudes digitales des citoyens. Comme résultat, une révélation de poids : non, le lien entre notre santé mentale et notre consommation d’Internet n’est pas aussi évident qu’on pourrait l’imaginer.

Quand la rigueur scientifique bouscule les croyances populaires

Après avoir scruté sous toutes les coutures les interactions de millions d’utilisateurs avec le monde connecté, les chercheurs ont établi la conclusion suivante : Il n’y a pas matière à ériger un constat d’accusation sur l’impact d’Internet et des jeux vidéo sur la santé mentale.

Statistiques en main : pas de verdict global

Se penchant sur un échantillon global de 2,4 millions de personnes, l’analyse menée détaille avec précision les variations de bien-être psychologique. À travers ces chiffres et ces entretiens de proximité, c’est un tableau nuancé qui se dessine, réduisant sensiblement l’espace à l’hypothèse d’un impact délétère de l’utilisation d’Internet sur le psychisme.

Un numérique en mal de preuves : l’ambiguïté persiste encore

Cependant, des zones d’ombre demeurent encore, et l’étude n’élude pas les nuances nécessaires. Si certaines légères corrélations ont été observées, celles-ci ne sont pas suffisantes pour faire sonner le tocsin. Cette mise en abyme incite à une réflexion plus ciselée sur le rôle des technologies numériques, loin de la vindicte ou de l’exaltation hâtive. En définitive, la virtualité n’est pas synonyme de dystopie cognitive.

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