Le feuilleton sur le piratage du réseau social américain continue de plus belle. En effet, le Wall Street Journal a annoncé le mardi 17 octobre 2018 sur son site internet que les hackers ne seraient pas liés à un pays. L’action aurait finalement été réalisée par des spammeurs. Cette nouvelle éloigne donc le spectre de la manipulation à des fins politiques comme lors de l’élection présidentielle de 2016 aux Etats-Unis. Les pirates auraient utilisé des millions de comptes Facebook pour pouvoir proposer des publicités indésirables.
Selon le Wall Street Journal, l’entreprise de Mark Zuckerberg serait capable d’identifier les personnes liées à ce piratage. Cependant, le FBI a demandé à la firme américaine de ne communiquer aucune information.
Cela fait presque un mois que cette affaire fait la une des journaux partout dans le monde. Les prochains événements révéleront certainement l’identité des attaquants.