ChatGPT, développé par Open-AI, intéresse Mark Zuckerberg, semble-t-il. Le patron de Meta souhaite développer son propre robot conversationnel en s’appuyant sur un modèle de langage différent de GPT-3. On fait le point.
Meta veut avoir son propre ChatGPT
ChatGPT a fait peur aux géants de la tech, notamment Google. Le moteur de recherche essaye de lancer un robot conversationnel avec Bard pour concurrencer le chatbot d’OpenAI.
Notons que dernièrement Microsoft a intégré ChatGPT sur son moteur de recherche Bing.
Ce robot conversationnel intéresse également la compagnie de Zuckerberg. Meta veut développer un chatbot basé sur un langage différent de GPT-3.
Les équipes de la firme américaine vont se baser sur un langage nommé LLaMA (Large Language Model Meta AI) pour développer un nouveau robot conversationnel. L’annonce a été faite par la firme via un billet de blog.
Notons que LLaMA (et GPT-3) est un modèle de langage qui construit l’infrastructure sur laquelle les ingénieurs se basent pour développer des chabots.
Meta souhaite développer un chatbot beaucoup plus performant
A en croire les dires de la firme américaine, le modèle de langage utilisé par les équipes pour développer le chatbot dispose de plus de 13 milliards de paramètres. En d’autres termes, ce robot conversationnel serait plus performant que ChatGPT.
Puisqu’il est petit, le modèle de langage LLaMA sera ouvert à un plus grand public. Ainsi, tout le mond epeut y accéder et étudier cette technologie, même s’il ne dispose pas une grande d’infrastructure informatique.
Notons que Google (avec Bard) et OpenAI (avec ChatGPT) ont pris la décision de garder leur technologie à l’intérieur de la société. Quant à elle, Meta a voulu la rendre accessible à tout un chacun, notamment aux chercheurs, aux spécialistes et aux établissements étatiques.
Pour le moment, on ne connaît pas la date de sortie du chatbot. On ne sait pas également s’il sera intégré aux différents réseaux sociaux de Meta.
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